A quelques jours du festival Rock en Seine, à l'affiche époustouflante, le journal Le Monde revient sur le covoiturage, une manière de plus en plus prisée d'aller, et surtout de revenir, des festivals de Rock. Voiture & co y est citée, comme un exemple d'une action de prévention et de mobilité présente directement dans les festivals.
C'est une forme de reconnaissance appréciable pour nous, qui avons initié le mouvement le 1er avril 2000 (et ce n'était pas une blague), en proposant aux participants du Gala des étudiants de l'Université de Nanterre Paris X de rentrer chez eux en toute sécurité après avoir fait la fête. L'idée a fait des petits depuis, mais Voiture & co est toujours la seule structure en France à mettre en place, plus de 100 fois par an, un système responsabilisant les conducteurs, qui se voient confier d'autres spectateurs à ramener chez eux.
Voici la partie extraite de l'article où Olivier Razemon, l'auteur, parle de Voiture & co :
"A Rock en Seine, qui se déroulera fin août dans le parc de Saint-Cloud (Hauts-de-Seine), seuls un petit quart des 100 000 festivaliers devraient venir en voiture. "Nous calquons les horaires de fin des concerts sur ceux des transports en commun", annonce François Missonnier, directeur du festival. L'organisation a établi un partenariat avec Voiture & Co, une association qui investit les festivals pour faciliter le covoiturage de proximité. "Nous privilégions les rencontres consacrées au rock, car elles attirent davantage de jeunes, plus vulnérables aux accidents de voiture", indique Ludovic Bu, le président de Voiture & Co.
A l'entrée du festival, des bénévoles vont demander aux arrivants s'ils sont motorisés, à quelle heure ils comptent repartir et s'ils peuvent ramener des passagers. "Les volontaires nous confient leurs clefs de voiture. A l'heure du retour, on mesure leur alcoolémie grâce à un éthylotest", poursuit M. Bu.
L'opération semble efficace, à en croire le responsable de Rock en Seine. Lors de l'édition de 2009, près de 500 personnes ont laissé leurs clefs. Une seule avait dépassé la limite d'alcoolémie autorisée, se souvient M. Missonnier."
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