Ce quatre titres qui pourrait passer pour une blague potache est en fait totalement addictogène. Impossible de se défaire de l’air de « Bla bla bla » après l’avoir entendu. Difficile d’oublier le yukulélé qui parsème les chansons. Impensable de ne pas remarquer les capacités vocales d’Eddy (la)Goyaatsch, capable de passer plusieurs octaves en quelques secondes, juste pour faire une figure de style entraînant le rire. D’ailleurs, c’est tout le talent de ce jeune homme : faire des chansons qui percutent en n’ayant l’air de rien. Voir en se tirant une balle dans le pied, par exemple en choisissant un pseudonyme imprononçable et impossible à retenir.
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