69 Live (Carl Craig) + Urban Tribe, Mercredi 5 octobre 2011 à 20h30, La Gaîté Lyrique, Paris (75003).
Après un set assez long et pas toujours bien mixé d'Urban Tribe, pas désagréable pour autant, Carl Craig apparaît sur scène, entouré de claviers vintage et autres séquenceurs comme on n'en fait plus. Ce soir, il revisite le catalogue de Planet-E, pour les 20 années du label.
Vêtu d'un masque de catcheur, et de son inévitable cape noire, Car Craig, le pape de la techno de Detroit première génération, ne perd pas une seconde. Il mets la pression et le rythme d'entrée de jeu, à fond les BPM. Niveau jeu de scène, souvent le bât qui blesse dans les live techno, Craig change plusieurs fois de masque, allant jusqu'à apparaître en Reine d'Angleterre... Et finalement, se montrer visage nu, pour haranguer les danseurs, les invitant à célébrer Detroit.
Surprenant, Carl Craig l'est aussi musicalement, lui qui par moment flirte avec les sonorités 80's d'un Jean-Michel Jarre (les infrabasses vibrionantes en plus), et qui peu après tape très dur comme un Plastikman au sommet de son dépouillement. Et tout cela sans aucune transition et sans que cela ne choque l'auditoire, qui en redemande ! Comme moi.
Après un set assez long et pas toujours bien mixé d'Urban Tribe, mais pas désagréable pour autant, Carl Craig apparaît sur scène, entouré de claviers vintage et autres séquenceurs comme on n'en fait plus. Ce soir, il revisite le catalogue de YYYY, pour les ZZZ années du label.
Vêtu d'un masque de catcheur, et de son inévitable cape noire, Carl Craig, le pape de la techno de Detroit première génération, ne perd pas une seconde. Il mets la pression et le rythme d'entrée de jeu, a fond les BPM. Niveau jeu de scène, souvent le bat qui blesse dans les live techno, Craig change plusieurs fois de masque, allant jusqu'à apparaître en Reine d'Angleterre... Et finalement, se montrer visage nu, pour haranguer les danseurs, les invitant à célébrer Detroit.
Surprenant, Carl Craig l'est aussi musicalement, lui qui par moment flirte avec les sonorités 80's d'un Jean-Michel Jarre (les infrabasses vibrionantes en plus), et qui peu après tape très dur comme un Plastikman au sommet de son dépouillement. Et tout cela sans aucune transition et sans que cela ne choque l'auditoire, qui en redemande !
Cordialement,
Ludovic Bu
Directeur Commercial, Marketing et Développement de la Saemes
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